Ils vous en parlent
Griven
« Que voulez-vous que j’vous dise sur elle ?
La première chose qui m’avait frappée chez Ex’ quand j’l’ai rencontrée, c’est qu’elle a ce maintien « racé ». Typiquement le genre de port qu’on prêterait à une nana d’la haute mais sans toutes les manières pompeuses qui vont avec. Au contraire, c’est plutôt l’genre à ne pas avoir froid aux yeux et n’pas hésiter à s’salir quand il faut. Parfois, elle est même un peu trop ‘fonce-dans-l’tas’, même pour moi. Mais j’suis absolument pas l’mieux placé pour juger d’ça. Un truc qui m’a directement plu chez elle c’est qu’elle allie son tempérament de feu au calme de la terre et qu’aussi fougueuse qu’elle soit, elle ne vous balayera pas au passage. Sauf si vous êtes un connard. Curieuse et entière, elle posera toujours ses questions. Et quand elle vous mesure avec ses yeux couleur de miel et que sa retenue polie fait place à ce petit air piquant… Ouai, difficile de rester d’marbre. J’ai pris goût à sa façon unique de communiquer qui fonctionne complètement avec la mienne et malgré ma vie en solo, j’suis pas mécontent qu’cette fille soit mon amie. C’est pas vraiment mon genre à la base, mais j’mentirais si j’disais qu’son p’tit côté animal qui ressort parfois et sa sensualité féline sont pas des turn-on... »
Kaltag
« Je pourrai vous servir mille mièvreries sur elle, je pourrai vous en parler durant des heures avec le regard pétillant mais vous n'êtes pas là pour ça non ? Alors essayons de rester concis : Lorsque vous la rencontrez, dès lors que votre regard se pose sur elle, oubliez immédiatement tout ce que vous croyez pouvoir savoir ou déduire. Elle déconstruira tout ce qu'elle pourra déconstruire. Meredith ce n'est pas une personne, c'est un panel de comportement indescriptible, une tornade d'émotions plus fortes les unes que les autres. Mais avant tout, cette nana c'est simplement celle qui a allumé un grand brasier dans mon âme pour me l'arracher tout de suite après. Cette nana, c'est le souvenir d'une relation qui a commencé dans la douleur et la panique, pour finir par la force et l'amour.
Elle est une féline indomptable, une fauve tigresse aux griffes acérées mais elle est tout autant une lionne aux flancs protecteurs. Du sucre, du sel, de l'amer, tant de saveurs opposées qui pourraient lui correspondre tout en étant correctes tant ses facettes sont nombreuses. Vous la décrire serait inutile, puisque Meredith ne s'explique pas. Meredith se vit. Et elle se vit aussi intensément qu'un saut à l'élastique avec une chance sur deux de s'éclater. Elle est simplement la moitié de mon être et la douceur de mon éternité. »
Raleigh
" Tu vois cet aura mystique que dégage un gros félin ? Mais si, ce quelque chose qui te fascine autant qui t'inquiète vaguement. Ce quelque chose qui, malgré la beauté du spectacle, te fait dire qu'au final c'est une bonne chose si un double vitrage vous sépare. Voilà, on y est. Tu l'as remarqué, moi aussi, tout le monde, Existy a un charme félin. Chacun de ses gestes, chacun de ses regards est teinté de cette grâce naturelle qui ne laisse pas sa place à l'imprévu. Peut-être est-ce cette Existy que tu connais. Peut-être est-ce ce charme en particulier qui t'enivre et, quelque part, t'as raison. Mais là où la féline se démarque des autres, c'est lorsque l'élégance de son corps se saccade, que ses yeux brûlants s'enflamment et que son sourire a un faux contact. Elle porte si bien la douleur que c'en est presque poétique. Parce que, moi, lorsque je vois cette femme, il n'y a que le mot douleur que je lis. Tu sais ce qui est marrant ? C'est que je t'en parle alors que je ne la connais pas vraiment moi-même. Mais elle a ces traits et ces légers stigmates de ceux qui se sont battus toute leur foutue vie. De ceux qui continuent à se battre quotidiennement contre le pire des ennemis : Soi-même. Même si je ne la connais pas, s’il y a une chose avec laquelle je suis familier c'est bel et bien la douleur insidieuse et silencieuse et, croyez-moi, Existy l'incarne à merveille. "
W.
Meredith, ou peut-être devrais-je dire... « Existy », c’est une mélodie.
Quand vos doigts dansent sur l’ivoire des touches et que les notes s’envolent. Des notes qui vous racontent milles histoires sans qu’aucuns mots ne soient prononcés.
C’est le calme d’un temple au sommet d’une montagne et le frisson du vide qui l’entoure.
C’est les flammes impérieuses de D’otorh et le ciel de Langardil.
C’est le rugissement d’un cœur et la vaillance d’une âme meurtrie.
C’est une infinité de voyages emprisonnés dans le nacre d’une perle et l’encre de ces livres qui pour toujours se souviennent.
